Le 22 septembre 2007 -
Selon le quotidien La Presse, le fleuve Saint-Laurent serait une soupe d'hormones et de médicaments pour les poissons et la faune aquatique.
En effet, le quotidien rapporte que si la qualité de l'eau du fleuve est meilleure qu'il y a 50 ans, ce dernier est toujours menacé par une douzaine de médicaments comme l'ibuprofène, les antibiotiques et les analgésiques.
La moitié des médicaments que l'humain consomme se retrouvent dans l'urine et inévitablement, ils sont rejetés dans l'eau. Et les usines de filtration ne sont pas toutes outillées pour les intercepter.
Des chercheurs ont découvert que des poissons mâles attrapés près de Longueuil et de Repentigny démontraient dans des proportions d'environ 30% des signes de féminisation en raison des hormones.