1- Les différences de température entre l’été et l’hiver étant particulièrement importantes dans le grand-nord, de nombreux bateaux risquent de se faire piéger par les glaces en courant d’automne, il sera donc obligatoire d’utiliser des brises-glace (nucléaire ou diesel) pour ouvrir la voie.
2- Si de gros bateaux se font piéger quand même, ou si ils entrent en collision avec des glaces flottantes ou des icebergs, leurs coques risquent d’éclater, libérant leur chargement directement dans l’eau.
3- La taille actuelle des bateaux et particulièrement des pétroliers est limitée par les canaux qu’ils doivent parfois emprunter (canaux de Suez et Panama). Or le passage du Nord-Ouest n’imposerait aucune limitation de taille. On risque donc de se retrouver avec des bateaux encore plus gros et donc avec des pollutions encore plus importantes en cas d’accident.
4- L’exploitation de ce passage imposant de surveiller et guider tous ces bateaux, il sera nécessaire d’implanter des colonies humaines sur le parcours, défigurant cette région encore très peu peuplée et nuisant gravement à son écologie fragile.
la sait sur il va y avoir de tres tres gros problemes6- Enfin pendant le printemps et l‘été, tout ce trafic passera sur les zones fréquentées par les baleines et autres mammifères marins pour se nourrir et risque de les faire fuir.
et ce sont les mammmifères qui vont payés la cupidité de l'homme merci bryan pour le lien tres interessant